À 18 ans, après une perte de poids importante, je n’avais plus de règles. Au bout de 7 mois, je suis allée chez ma gynécologue qui après examen, m’a diagnostiqué des microkystes sur les ovaires.
“Aujourd’hui, ils sont encore tout petits. Mais ils peuvent grossir tellement qu’ils finissent par faire la taille de l’ovaire. Le seul traitement que nous avons aujourd’hui, c’est la pilule. Ne vous inquiétez pas, je vous mets une micro-dosée.’’
Nous faisons face aujourd’hui à un tsunami de maladies chroniques. Plus nous dépensons pour les soins de santé, moins nous en recevons. Alors que nous inventons de nouveaux médicaments et de nouvelles procédures, les maladies chroniques continuent d’augmenter en France, en Europe et – à l’heure où les pays en développement adoptent le pire de notre alimentation – dans le monde entier.
Il y a quelques temps, j’ai participé à une réunion avec Adabelle Carson, une thérapeute spécialisée dans le rééquilibrage des chakras. Le thème de la séance était “trouver son pourquoi”.
Adabelle nous a invité à nous questionner: pourquoi est-ce que je fais ce que je suis en train de faire ? Cela peut paraître très simple, dit comme ça. Mais il s’agit ensuite de continuer à se questionner en demandant pourquoi, pourquoi, pourquoi… Jusqu’à arriver à la phrase qui nous fera déplacer des montagnes.
L’anxiété touche beaucoup d’entre nous. Pour ma part, j’ai vu des médecins. J’ai vu des psychiatres. Personne n’a pu trouver la cause de mes symptômes et encore moins se mettre d’accord sur un diagnostic. Certains m’ont dit que j’étais trop stressée, d’autres ont suggéré une fatigue chronique. J’ai donc décidé de trouver les réponses par moi-même.
Après des heures de lecture, de consultations d’articles, de questions posées à des médecins à l’esprit plus alternatif et en faisant des expériences avec mon propre corps et mon propre esprit, j’ai finalement compris que mon anxiété n’était pas dans ma tête. Elle était dans mon corps.